Titre : Comme un poison dans l’eau
Auteur : Yan Marchand
Editeur : Griffe d’Encre
Auteur : Yan Marchand
Editeur : Griffe d’Encre
Date de publication : 2010
Couverture :
Couverture :
Illustrateur : Zariel
Pages : 69
pages
Prix : 8
euros
Biographie auteur : (source : lespetitsplatons.com)
Docteur en
philosophie, auteur de romans (Métropolitain, Les Prothétiques, Comme un poison dans l'eau) et
nouvelliste, Yan Marchand collabore actuellement avec l'Entonnoir
Théâtre pour mettre en scène l'une de ses pièces: Blituri. Également formateur de
français, il enseigne un tas de choses et apprend un tas d'autres, auprès des
apprentis ouvriers des Compagnons du devoir de Brest.
Synopsis :
Meizi est une impératrice chinoise ; c’est
aussi le nom que Walter a donné à son poisson rouge.
Majestueux et glacial, l’animal ne demande ni
ne donne rien : il est fascinant. Walter en tombe amoureux. Et leur
histoire aurait pu durer mille ans, mais une rumeur circule en ville : il
y a un poison dans l’eau.
Critique :
Challenge de lecture oblige, voici une novella que l’on
survole rapidement. Et hélas, pas avec un intérêt démesuré. A lecture courte,
critique courte donc. Je ne développerais pas plus pour ne pas vous ennuyer.
On a donc une histoire vraiment pas accrocheuse où l’on
suit un étudiant asocial fou de son poisson rouge et qui voit son monde s’écrouler
à cause d’un empoisonnement de l’eau courante. Mon regard n’a fait que passer
sur ce récit, de façon un peu vide.
On reconnait malgré tout une certaine plume de l’auteur
avec quelques phrases bien senties. Seulement, je ne suis pas pour une
littérature privilégiant trop la forme, excepté peut-être pour la poésie. D’autant
plus que le tout est encore gâché par une chute mal faite qui met un point
final à cette triste novella, dans tous les sens du terme.
Note : 3/10
Une courte lecture pour pas grand-chose,
surtout à presque douze centimes la page. Désolé pour l’auteur qui a une belle
plume, mais il me faut plus. A éviter.
C'est dans ces cas-là qu’apparait le grand avantage des nouvelles : quand on n'aime pas, ça fait moins à supporter. ^^
RépondreSupprimerOui, positivons ! ^^
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