jeudi 10 janvier 2013

Comme un poison dans l'eau, de Yan Marchand



Titre : Comme un poison dans l’eau
Auteur : Yan Marchand
Editeur : Griffe d’Encre
Date de publication : 2010
Couverture :
Illustrateur : Zariel
Pages : 69 pages
Prix : 8 euros

Biographie auteur : (source : lespetitsplatons.com)

Docteur en philosophie, auteur de romans (MétropolitainLes ProthétiquesComme un poison dans l'eau) et nouvelliste, Yan Marchand collabore actuellement avec l'Entonnoir Théâtre pour mettre en scène l'une de ses pièces: Blituri. Également formateur de français, il enseigne un tas de choses et apprend un tas d'autres, auprès des apprentis ouvriers des Compagnons du devoir de Brest.

Synopsis :

Meizi est une impératrice chinoise ; c’est aussi le nom que Walter a donné à son poisson rouge.
Majestueux et glacial, l’animal ne demande ni ne donne rien : il est fascinant. Walter en tombe amoureux. Et leur histoire aurait pu durer mille ans, mais une rumeur circule en ville : il y a un poison dans l’eau.

Critique :

                Challenge de lecture oblige, voici une novella que l’on survole rapidement. Et hélas, pas avec un intérêt démesuré. A lecture courte, critique courte donc. Je ne développerais pas plus pour ne pas vous ennuyer.
                On a donc une histoire vraiment pas accrocheuse où l’on suit un étudiant asocial fou de son poisson rouge et qui voit son monde s’écrouler à cause d’un empoisonnement de l’eau courante. Mon regard n’a fait que passer sur ce récit, de façon un peu vide.
                On reconnait malgré tout une certaine plume de l’auteur avec quelques phrases bien senties. Seulement, je ne suis pas pour une littérature privilégiant trop la forme, excepté peut-être pour la poésie. D’autant plus que le tout est encore gâché par une chute mal faite qui met un point final à cette triste novella, dans tous les sens du terme.

Note : 3/10
Une courte lecture pour pas grand-chose, surtout à presque douze centimes la page. Désolé pour l’auteur qui a une belle plume, mais il me faut plus. A éviter.

2 commentaires:

  1. C'est dans ces cas-là qu’apparait le grand avantage des nouvelles : quand on n'aime pas, ça fait moins à supporter. ^^

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