Titre : The Cape
Auteur : Jason Ciaramella, Zach Howard et Nelson Daniel, inspiré d’une nouvelle de Joe Hill
Editeur : Milady Graphics
Biographie auteur : (source : babelio.com)
Synopsis :
Auteur : Jason Ciaramella, Zach Howard et Nelson Daniel, inspiré d’une nouvelle de Joe Hill
Editeur : Milady Graphics
Date de publication : 2013
Couverture :
Couverture :
Nombre de tomes sorti : One-shot
Prix : 19,90
euros
Biographie auteur : (source : babelio.com)
Joe Hill (de
son vrai nom Joseph Hillstrom King) est le fils de l'écrivain Stephen King et
de Tabitha King.
Il n'a révélé
cette identité qu'en 2007, car il souhaitait faire ses preuves par lui-même
sans profiter des avantages qu'aurait pu lui apporter son nom.
Second des
trois enfants du couple d'écrivains américain Tabitha et Stephen King, Joseph
Hillstrom King grandit à Bangor, dans le Maine. Il commence à écrire des
nouvelles qui sont publiées dans différents magazines, tels que Subterranean Magazine, Postscipts et The High Plain Litterary Review, à partir de 1997, et il adopte le
nom de plume de Joe Hill, chanteur engagé en l'honneur de qui il a été
prénommé, afin de pouvoir bâtir sa carrière sur ses seuls mérites sans qu'on
puisse l'assimiler à son père. En 1999, il reçoit le A. E. Coppard Long Fiction Prize pour sa nouvelle Better Than Home. Son premier livre, un
recueil de nouvelles intitulé Fantômes -
Histoires troubles (20th Century
Ghosts) est publié en 2005 et reçoit le prix Bram Stoker et le prix British
Fantasy du meilleur recueil de nouvelles en 2006. Son premier roman, Le Costume du mort, paraît en 2007. Il
reçoit le prix Locus du meilleur premier roman en 2008 et atteint la huitième
place de la liste des best-sellers du New York Times. Peu après, il confirme
publiquement son identité après qu'elle eut été révélée dans un article de
Variety paru suite au succès rencontré par son roman. Il est également le
scénariste du comic Locke & Key,
édité par IDW Publishing, et dont le premier numéro était épuisé dès le jour de
sa parution, le 21 février 2008. En 2009, un roman court écrit par Joe Hill et
Stephen King, Throttle, est paru dans
une anthologie dédiée à Richard Matheson, He
Is Legend. Son second roman, Cornes,
est paru en 2010. Joe Hill est marié et a trois enfants.
Un détail
amusant : c'est Joe Hill qui incarne le personnage de Billy dans le film Creepshow, réalisé par George Romero en
1982 et scénarisé par Stephen King. On le voit dans le prologue et l'épilogue
du film. C'est intéressant parce que finalement, ce petit garçon peut être
considéré comme l'astre principal de la galaxie Joe Hill, le prologue à son
aventure littéraire...
Synopsis :
Qui n’a pas rêvé de s’élancer dans les airs ?
De détenir d’extraordinaires pouvoirs ?
Mais qu’arriverait-il si ce rêve se réalisait ?
Eric est un
homme brisé. Depuis l’accident tragique qui a bouleversé sa vie, à huit ans, et
lui a arraché ses rêves de grandeur, rien n’a plus de sens. Si seulement il
remettait la main sur la cape de son enfance, l’impossible serait à portée de
main. Il pourrait s’envoler vers le ciel… et assouvir enfin ses désirs de
vengeance.
Critique :
Dans ma flemme de lire Cornes incessamment
sous peu afin de confirmer tout le bien que l’on me dit de Joe Hill, fils du
très connu Stephen King, je me suis rabattu sur un one-shot comics qui vient de
sortir, adapté de l’une de ses nouvelles. Je crois que Cornes vient de faire un
petit bond dans ma pile à lire. D’autant plus qu’il y a le film à venir, et que
j’aimerais bien l’avoir lu avant sa sortie.
Donc, The Cape. Drôle de titre déjà, qui met
en exergue un symbole assez récurrent chez les super-héros, et qui
personnellement je trouve donne un petit côté enfantin. Mais à peine cinq pages
après l’ouverture du comics, on sent l’erreur d’appréciation, avec un
traumatisme d’enfance qui va changer des choses. Se profile alors très
rapidement une histoire « à l’envers », où notre héros se mue en
anti-héros, dans une histoire très sombre.
Comme il s’agit d’un one-shot, j’ai peur d’en livrer
trop, et donc je ne vais pas en dire beaucoup plus, si ce n’est que Joe Hill a un talent énorme, et que vous
devez lire The Cape pour l’ambiance qui s’en dégage, pour son dessin
aussi, et surtout pour prendre votre pied.
Note : 8,5/10
Le scénario « à l’envers »
qui fait mal, très mal. A dévorer.