vendredi 5 avril 2013

Jusqu'à ce que la mort nous sépare, de Hiroshi Takashige et Double-S

Série : Jusqu’à ce que la mort nous sépare
Auteur : Hiroshi Takashige et Double-S)
Editeur : Ki-oon

Date de publication : depuis 2009
Couverture :

Nombre de tomes sorti : 17 tomes
Prix : 7,65 euros par volume

Biographie auteur : (source : babelio.com)

Hiroshi Takashige est un scénariste de manga. Il est connu pour son œuvre Spriggan (1989-1996). En 1996, il était invité d'honneur avec le dessinateur de Spriggan, Ryōji Minagawa dans une convention dédiée aux comics au Portugal. Ils ont tous les deux ensuite travaillé sur Kyo. Il travaille actuellement sur Jusqu'à ce que la mort nous sépare.
Double-S est le dessinateur de la série. Des mini-séries qu’il rajoute en fin de volume, on sait que c’est un fan de métal, de jeux vidéo et de motos.

Synopsis : (source : manga-sanctuary.com)

La jeune Haruka Tôyama possède un pouvoir singulier, celui de prédire l’avenir avec une précision de 90%. Ce don fait d’elle une proie pour les organisations mafieuses et les grands groupes industriels de tout le pays, qui veulent l’exploiter pour leur propre compte. Alors qu’elle essaie d’échapper à ses ravisseurs, elle croise un aveugle dans la rue. Elle le comprend aussitôt : cet homme est le seul à pouvoir lui sauver la vie…

Critique :

                Thriller à moitié d’anticipation avec une touche infime de fantastique, Jusqu’à ce que la mort nous sépare s’affirme comme une des séries phare des éditions Ki-oon avec dix-sept volumes sorties d’une qualité très intéressante. Très orienté sur les technologies de pointes et le combat en milieu urbain, il se trouve que j’ai un peu de mal à rendre justice à cette excellente série.

                Ce que j’en retiens, c’est un style graphique épuré, des scènes de combat très sympa, une intrigue avec des ramifications variées et profondes, un fil conducteur fantastico-scientifique sympathique, des personnages sympathiques, etc. Il y a un tas d’ingrédients pour vous rendre accroc à ce seinen. Jamais en dix-sept volumes ne me suis-je ennuyé. Ce n’est pas la série la plus originale en soi, mais elle utilise parfaitement ces propres arguments, sans surenchères. 

                  Voilà, je racle un peu les fonds de tiroirs en ce moment, mais c'est que je lis un beau pavé très prenant dont je vous reparlerais d'ici un petit mois.

Note : 8/10
Pas de génie, mais un très bon manga malgré tout. A dévorer.
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4 commentaires:

  1. Je connaissais de nom, mais je me rend compte que je n'avais jamais cherché à savoir de quoi cela parlait. En fait, j'avais plutôt un a priori vis-à-vis du titre, qui a la particularité d'être à la fois beau, mais pas tentant.

    Du coup j'irai peut-être jeter un oeil. =O

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  2. J'avoue que lorsqu'on m'en a parlé pour la première fois, le titre ne me tentait pas du tout du tout ^^'

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  3. C'est clair qu'au départ, en voyant le titre, on pourrait penser à un énième shojo, donc on a envie de passer... mais quelle erreur !
    J'adore "Jusqu'à ce que la mort nous sépare" pour son personnage principal déjà, un aveugle maniant le katana faisant partie du profil type de personnage que j'aime. Aussi parce que c'est un urban thriller qui baigne dans un univers underground, beaucoup de bagarres en pleine ville et les technologies sont au centre des affrontements (vous n'avez encore rien vu d'ailleurs). Et puis il n'y a pas de manichéisme dans ce manga, les "bad guy" ont une vraie personnalité, un vrai style propre et quasiment tous sont très intéressants. Ils ne servent pas de chair à canon pour le katana de Mamoru, ce qui rend les combats palpitants. Et il y a une telle panoplie de personnages originaux...

    Bref, un manga à lire si on aime ce genre ^_^
    Merci pour la critique ;)

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  4. J'aurais dû te laisse faire ma chronique Jayjay, t'en parle dix fois mieux que moi, avec tout le vocabulaire qu'il faut ^^

    Je suis totalement d'accord avec toi en tout cas ;)

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