Titre : Brazil
Auteur : Ian McDonald
Editeur : Folio SF
Biographie auteur :
Synopsis :
Auteur : Ian McDonald
Editeur : Folio SF
Date présente édition : septembre 2011
Couverture :
Couverture :
Illustrateur : Damien Venzi
Pages : 544
pages
Prix : 8,90
euros
Biographie auteur :
Ian McDonald
est né en 1960, à Manchester. C'est l'un des auteurs de science-fiction les
plus talentueux et les plus récompensés. Il est notamment connu pour son roman Le
fleuve des dieux qui a reçu de nombreux prix. Ian McDonald vit à Belfast
avec sa femme.
Synopsis :
2006 : Marcelina Hoffman est
productrice de télé-réalité. Elle vient d’avoir l’idée d’une émission qui
pourrait définitivement lancer sa carrière : organiser le procès de Moacir
Barbosa, le gardien de but responsable de la défaite de la Seleção lors de la
Coupe du monde de football en 1950.
2032 : Edson souhaite par-dessus tout sortir de la favela où il vit, à São Paulo. Mais sa rencontre avec Fia Kishida pourrait bien changer la donne. À moins qu’il ne tombe sous les coups d’une lame quantique.
1732 : le père Quinn a été chargé par les jésuites de retrouver dans la forêt amazonienne Diego Gonzalvez, un prêtre dissident, et de le ramener dans la vraie foi… ou de l’éliminer.
Mais quel peut bien être le lien entre ces trois Brésil séparés par les minces voiles du temps?
Brasyl confirme tout le talent de Ian McDonald, un des auteurs de science-fiction les plus talentueux à l’heure actuelle.
2032 : Edson souhaite par-dessus tout sortir de la favela où il vit, à São Paulo. Mais sa rencontre avec Fia Kishida pourrait bien changer la donne. À moins qu’il ne tombe sous les coups d’une lame quantique.
1732 : le père Quinn a été chargé par les jésuites de retrouver dans la forêt amazonienne Diego Gonzalvez, un prêtre dissident, et de le ramener dans la vraie foi… ou de l’éliminer.
Mais quel peut bien être le lien entre ces trois Brésil séparés par les minces voiles du temps?
Brasyl confirme tout le talent de Ian McDonald, un des auteurs de science-fiction les plus talentueux à l’heure actuelle.
Critique :
Bon, je commence mon rallye chroniques, avec pas
moins de cinq billets à rédiger qui trainent (qui a dit que j’étais oisif ? :p).
Débutons par la lecture commune du mois dernier sur le Cercle d’Atuan, et à la clef
mon premier Ian MacDonald.
J’étais prévenu, Brazyl n’est pas le meilleur
roman de l’auteur. Mais bon, le Mondial de football approchant, c’était une
sorte de passage obligé. Et le roman n’omet pas la culture foot dans cette
anticipation. Seulement, mêlé à de la physique quantique, c’est un peu dur, en
plus de trop conceptuel au niveau des sciences dures pour ma p’tite caboche. J’ai
trouvé l’histoire plutôt intéressante le temps d’une poignée de chapitres
faisant illusion, mais l’ennui s’est vite pointé lors de ma lecture, du fait d’une
sensation de lenteur dans le récit accrue par un schéma narratif triple (trois
personnages de trois époques différentes : présent – futur – passé). Brazyl
a tout d’un pétard mouillé.
Mon seul point de satisfaction réside au niveau de l’écriture.
J’adore la manière d’écrire de Ian MacDonald. On ressent le plaisir de l’écriture
dans ses tournures de phrases, très spontanées et pourtant au niveau de langue
très supérieur à la moyenne. C’est un alliage entre le naturel et le pointu.
Dommage que la construction du récit n’allait pas de pair. J’ai néanmoins une
certitude : je lirais d’autres romans de l’auteur (pas le choix, je les ai
tous dans ma bibliothèque).
Appréciation : Un livre
dispensable malgré une écriture plaisante. Une lecture aux idées trop
confuses pour moi.
Nan mais il est très bien Ian McDonald, apparemment faut juste pas lire Brazyl :D
RépondreSupprimerJe me dis qu'en aprtant du moins bon, je ne serais pas déçu des suivants :p
SupprimerBon celui-là, je ne le lirai que quand je n'aurais plus rien d'autre de l'auteur en réserve...^^
RépondreSupprimerCertes, il n'écrit pas aussi vite que Sanderson, mais j'ai quelques autres trucs en ligne de mire avant celui-ci.
Je préfère qu'il n'écrive pas à la pelle et qu'il nous livre des trucs de qualité (parce que Sanderson, ça se satisfait de peu par rapport à son talent en ce moment).
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