lundi 24 septembre 2012

Thermae Romae, de Mari Yamazaki

Une critique que j'avais oubliée, aussi disponible sur le blog de la librairie Critic. Un vrai coup de coeur.

Et désolé pour l'absence prolongé, mais "vacances" obligent. Le rythme va reprendre, j'essaierais de faire au minimum une critique par semaine.

Amicalement,
Le Dév'


Titre : Thermae Romae
Série : Thermae Romae
Auteur : Mari Yamazaki
Editeur : Casterman
Couverture :

Illustrateur France : Mari Yamazaki
Nombre de tomes sortis : 4 tomes
Prix : 7,50 euros

Biographie auteur :

Mari Yamazaki est née en 1967 à Tokyo d’une mère musicienne. A 14 ans, elle voyage seule en France et en Allemagne, rendant visite aux amis musiciens de sa mère. Alors qu’elle se dirige vers Lille, elle rencontre à la gare de Bruxelles un potier italien. En 1984, alors qu’elle a 17 ans, il l’invite à venir en Italie. Mari Yamazaki accepte et commence à étudier la peinture aux beaux-arts de Florence. Après dix années parfois difficiles passées en Italie, elle participe au concours de mangaka débutants d’une maison d’édition dans le but de remporter une somme d’argent, elle est sélectionnée et c’est comme ça qu’elle fera ses débuts dans le monde du manga. Elle s’installe à Lisbonne en 2003 après avoir résidé au Japon, au Moyen-Orient ainsi qu’en Italie. A partir de janvier 2008, elle publie dans le magazine mensuel Comic Beam (Enterbrain) la série Thermæ Romæ. Le premier tome sort en novembre 2009 et connaît un succès immédiat. En mars 2010, Thermae Romae est lauréat du grand prix du manga et reçoit en avril le 14e prix de la culture Osamu Tezuka. Elle réside actuellement à Chicago avec son fils et son mari, l’Italien rencontré à Bruxelles.

Synopsis :

Lucius Modestus, un architecte romain de l’Antiquité boudé par la profession décide d’aller se détendre aux thermes. Alors qu’il s’immerge dans l’eau, il se retrouve aussitôt transporté dans le temps et l’espace, atterrissant dans un bain public du Japon contemporain. Ces étranges voyages lui permettent de s’inspirer des inventions japonaises et des techniques modernes pour briller à Rome et s’attirer les faveurs de l’empereur Hadrien.


Note : 8,5/ 10

Thermae Romae, c’est à lire pépère dans un bon bain bien (Ba be bi bo bu !!!) chaud pour une bonne tranche de détente.

dimanche 22 juillet 2012

Les Chevaux du Vent, de Fournier et Lax

Voici une petite critique de ma part sur le blog de la librairie Critic ;)

Enjoy !



Titre : Les chevaux du vent, partie 2
Série : Les chevaux du vent
Auteur : Fournier et Lax
Editeur : Aire Libre
Couverture :

Illustrateur France : Jean-Claude Fournier
Nombre de tomes : 2
Prix : 16,50 euros

Biographie auteurs : (sources : vbg.free.fr et fnac.com)
  
Né à Paris en 1943 de parents Breton, Fournier est le créateur de Bizu et des Cranibales. Il était allé à quelques reprises chez Franquin pour avoir l'avis de ce dernier sur ses réalisations.

En 1968, Dupuis propose à Fournier de reprendre la série Spirou. Le personnage et ses aventures changent alors de style, la rendant plus "gentillette, poétique et charmante" comme avait dit Franquin. Fournier reprendra la série le temps de 9 albums.

         Né en 1949, Christian Lacroix, dit Lax, est l’un des meilleurs représentants de la bande dessinée réaliste française. On lui doit quelques 25 albums depuis ses débuts à l’orée des années 80, dont les séries La Marquise des Lumières (scénario Cothias, 4 volumes chez Vents d’Ouest) et Le Choucas (6 volumes chez Dupuis). Lax a été lauréat du Grand Prix RTL de la bande dessinée pour son album L’Aigle sans orteils, chez Dupuis.

Synopsis :
  
Le dernier acte d’une tragédie épique et tumultueuse, à l'ombre des cimes enneigées de l'Himalaya. Lorsqu'il apprend que son père est parti au Mustang pour revoir son frère Kazi, moine au monastère de Garphu, Resham, qui s'était engagé dans l'armée anglaise, choisit de déserter pour partir à sa recherche. Mais en arrivant dans ce royaume interdit, il découvre que son père, qui accomplissait une mission pour les anglais, a été arrêté. Avec l’aide d'un Amchi rencontré en route, il décide de le faire évader…

Note : 8,5/10
Un simple regard contemplatif qui nous repait.